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Spectacles du lundi 6 février au dimanche 26 février 1978 (tous les jours à 21 heures sauf matinée dimanche soient 21 représentations) |
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Pour la troisième et dernière fois Barbara retrouve l'Olympia. Quinze ans plus tôt elle son talent éclatait de l'autre coté du boulevard au théâtre des Capucines dans le cadre du Mardi des Capucines. Barbara s'accompagne au piano avec Roland Romanelli à l'accordéon électronique, au piano électrique Yamaha, aux Korgs, à la clavinette et à l'arp. Barbara et Roland Romanelli signent les arrangements musicaux. Mine Verges habille Barbara. Christian Atkins règle les éclairages avec à la poursuite Gilles Gamet. Eric Alvergnat assure le bon son. Au fronton de l'Olympia Barbara fait inscrire en lettres rouges "Barbara et Roland Romanelli". Son accordéoniste s'étonne, et elle répond : " C'est normal nous sommes deux !". Elle interprète des nouvelles chansons jusqu'à cette date inédites sur disque. Il s'agit de : Fragson, La musique, La mort, Les insomnies, Il automne, L'amour magicien. En fait seuls Il automne et la musique ne furent jamais chantées en public. Les autres furent rodées à Bobino en 1975. Le spectacle en deux
parties comprend vingt six titres. Le soir après le spectacle elle ne rejoint pas Précy .Elle loue une chambre dans un hôtel de la rue Caumartin face à l'entrée des artistes de l'Olympia. Patrick Ulmann, le
photographe de la salle réalise une série de photos de ce spectacle.
Voyant la photo faisant l'affiche du spectacle Barbara dira au photographe
: Cette photo est belle parce que tu m'as fait un long cou ! Les 13, 14, 24, 27 et 28 février Philips réalise un enregistrement public du spectacle à l'Olympia. Le double 33 tours sortira en juin 78. |