Y'aura du monde |
1964
Barbara chante sur la scène de Bobino en première partie de Georges
Brassens. Les critiques de la presse la découvre. Son récital éclipse
celui de Brassens. Alors les journalistes désirent tous l'interviewer.
Les émissions de télé désirent sa participation. Le public est envoûté
par la femme qui chante. Barbara obtient le statut de vedette et
découvre le milieu du show bizz. Elle réalisé les flatteries,
l'hypocrisie qui entoure ce milieu. "les mondains les encanaillés et mesdames les sous-préfètes, trois petits fours et deux Ave" "Les celles qui ont de la vertu et de bien méchantes manières". |
|